Publié le 27 octobre 2020
Dimanche 25 octobre, le ministre-président Jan Jambon a estimé que la "maison flamande n'était pas encore en feu" et qu'il n'était pas encore nécessaire d'éteindre l'incendie, c'est-à-dire de prendre des mesures plus strictes. Il a choisi d'attendre et de voir comment la situation évoluait sur la base des chiffres et de n'intervenir que si nécessaire. L'un des arguments était son souci de la santé mentale et du bien-être de la population. Mais est-il vrai que notre santé mentale souffre davantage de mesures plus strictes que de l'incertitude qui accompagne une attitude attentiste, alors que de nombreux signaux autour de nous passent au rouge ? Les données du baromètre de la motivation de l'UGent suggèrent que nous ne devrions pas laisser passer l'élan de la motivation pour l'action. C'est ce que nous ont appris les réactions aux dernières décisions du Conseil national de sécurité sous le gouvernement Wilmès. Après tout, les mesures strictes ne sapent pas par définition notre motivation et notre bien-être, bien au contraire. En échange d'une certitude et d'un plan d'action clair, la population est prête à prendre le taureau par les cornes et à accepter des mesures de réduction des risques. De cette manière, notre bien-être est protégé à long terme. Dans ce rapport, nous examinons certaines des hypothèses implicites sur le comportement et le bien-être que les décideurs politiques formulent parfois et les soumettons à des observations empiriques.
Néerlandais
Les rapports ont été initialement rédigés en néerlandais et traduits par DeepL Translate. Les traductions ont été vérifiées en diagonale. Des commentaires sur la structure ou les traductions ? N'hésitez pas à nous contacter
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